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30 octobre 2014

Week-end en forêt de Lyons en 5 photos

30.10.14 12 Petits Mots
Ce soir, je me lance dans un petit exercice qui change. Plutôt que d'utiliser les mots, je vais tenter de vous raconter mon week-end en Normandie en cinq photos. Car le coin de France que je voulais visiter, c'est bien la Normandie, et plus particulièrement la Forêt de Lyons. Un terrain de jeu de 11000 hectares, comme aimait à nous le préciser notre guide. J'ai donc eu le plaisir d'explorer à cheval une forêt parée de ses couleurs d'automne, probablement une des meilleurs périodes de l'année à mes yeux pour admirer les arbres et leurs parures. Sans plus attendre, voici les cinq photos représentatives du week-end.



  • La grande gagnante: La forêt des songes
Partir à cheval dans la brume du petit matin, grimper dans des chemins inattendus et recevoir cette vue en récompense:



Les quatre autres photos représentatives de ce voyage sont les suivantes:

  • Réveil lumineux:
Se réveiller tôt un dimanche, jeter un œil par la fenêtre et avoir le ciel en cadeau.





  • Automne islandais:
Partager ce voyage avec un compagnon à quatre sabots, venu d'un pays lointain, qui foule pour moi le sol humide recouvert de brunes feuilles tombées.



  • Entre forêt et vallées:
Quitter la ville pour retrouver le calme de la campagne, et entre deux chemins de forêt rencontrer dans leurs verts pâturages les vaches placides qui nous regardent passer.




  • Oreille dans la forêt d'automne:
Une gigantesque forêt peuplée d'arbres tous différents, découverte avec de drôles d'oreilles comme seule ligne de mire.




Voilà, c'était un bref résumé en images de ce voyage de deux jours intenses et ressourçants! Êtes-vous convaincus, prêts à partir pour un tel voyage à partir de ces cinq photos?



Vous voudriez en savoir un peu plus? Aller, c'est cadeau. Voici les autres photos "finalistes" dans ma petite sélection perso.

L'évasion, une selle et un chemin sinueux au cœur de la forêt


La forêt à la sortie de la brume, ciel bleu et soleil


La forêt des songes entre les oreilles de mon cheval


Couleurs d'automne dans les fougères


A cheval dans les rues du beau village de Lyons la Forêt,
maisons à colombages et animation d'un jour de marché


Partir: quitter la ville, prendre la route et se diriger vers la forêt


Coucher de soleil avant de repartir


Le calme de ces chevaux: traversée sans soucis d'un pont métallique


Un soir près du pré


Encore cette forêt irréelle dans la brume, inoubliable et magique


Automne, ton sur ton


Monter et descendre: une forêt vallonée


Et voilà, c'est tout pour aujourd'hui! Quelle est votre photo préférée dans cette sélection? Avez-vous vous aussi des photos que vous trouvez représentatives de vos voyages?

Et n'oubliez pas de compléter le sondage sur ma page Facebook!



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26 octobre 2014

À méditer - Voyager et écrire

26.10.14 1 Petits Mots
De ces voyages qui me font rêver, j'écris une aventure, une histoire, des souvenirs. Mais qu'est-ce au fond que cette écriture? Voici une petite citation qui mérite réflexion:



"Le récit n'est plus l'écriture d'une aventure,

mais l'aventure d'une écriture."
Jean Ricardou


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23 octobre 2014

[Nouveau Tag] Ce pays que je voudrais visiter

23.10.14 13 Petits Mots

Naissance d'un défi: Cet endroit que je voudrais visiter


Parce que nous avons chacun en nous nos rêves de voyage, j'ai envie aujourd'hui de créer un tag intitulé "Cet endroit que je voudrais visiter". Je vous propose de nous parler de cet endroit que vous aimeriez visiter, pays, ville, région ou monument. Parlez-nous simplement de ce lieu que vous rêvez de découvrir, et de la façon dont vous le rêvez. Et transmettez à votre tour ces rêves d'évasion en demandant à trois blogueurs de répondre à ce tag. Voici bien sûr ma participation, et les trois nominés seront à la fin de l'article.


Il est un pays que je voudrais visiter, un pays qui m'attire par la richesse de ses paysages et de son histoire, un pays aux mille facettes et aux mille couleurs, un pays aux multiples secrets .


Il est un pays...



Il est ce pays léché par la mer et caressé par les océans, des eaux de turquoise et des vagues entêtées. Il est aussi ce pays bordé de montagnes enneigées, de hauts sommets inaccessibles et d'aiguilles déchiquetées. Il est ce pays qui cache en son cœur des monts aux douces rondeurs et des volcans anciens aux rudes pentes enherbées. Il est ce pays aux longues plaines ondulant à l'infini, chargées de vie et d'avenir. Il est ce pays aux marais anciens, qui donnent le sel à la vie. Il est ce pays aux forêts mystérieuses qui abritent des secrets enfouis.

Il est ce pays façonné par l'Homme, chargé par les ans d'une longue et riche histoire. Parfois, son cœur de pierre dissimule les dessins d'animaux disparus. Parfois, la pierre modelée et transformée s'expose en s'élançant vers le ciel en un criant message d'espoir. En ce pays, la patience a construit des miracles toujours intacts. Dame de pierre ou dame de fer, fières et droites face à l'adversité. Monuments d'autrefois et monuments d'aujourd'hui font la renommée de ce pays.

Il est ce pays au doux refrain, au chant du coq et au chant des cigales. Ici sonnent les cloches, ici gronde la mer, ici murmure le vent.

Il est ce pays à la culture millénaire, avec son passé trouble et ses découvertes lumineuses. Il est ce pays fier de ses vins et ses vignobles, ce pays à la gastronomie inégalée bien que parfois surprenante. En ce pays chantent encore dans les bouches des grand-mères des langues anciennes et des accents étoilés sur les lèvres de leurs enfants.

Il est en ce pays entre les Hommes pressés des âmes accueillantes à rencontrer, des vies à partager et des passionnés qui ne rêvent que de vous transmettre leur enthousiasme.

Il est en ce pays tant de trésors que j'ignore encore, tant de découvertes à faire, tant de chemins à parcourir, tant d'amis inconnus qui me tendent les bras, tant d'énigmes à résoudre et de magie quotidienne.

Il est ce pays que j'ai toujours envie d'explorer pour le connaitre mieux encore.

Ce pays, l'avez-vous reconnu? Voulez-vous le découvrir?

Alors levez les yeux de votre écran et regardez par la fenêtre. Vous apercevrez peut-être ses champs ou l'une de ses rivières, un monument ou des vieilles pierres. Fermez les yeux et entendez chanter ses oiseaux et fredonner son vent, écoutez les langues parler son accent. Car ce pays c'est le mien, et peut-être le notre. Ce pays, c'est la France. Ce pays si beau qui se cache dans notre quotidien, aux trésors que l'on oublie tant ils sont présents si près de nous.

Alors, tout à l'heure ou demain, quand vous irez travailler ou vous promener, faire vos courses ou voir votre ami équin, prenez le temps de savourer l'instant. Pensez à moi juste un moment, et fermez les yeux pour écouter le pouls de la France, entendre les oiseaux qui chantent et les feuilles qui se froissent, discerner la musique dans la pluie qui tombe et le vent qui souffle. Sentez sur votre peau la chaleur du soleil ou le froid dévorant.

Alors ouvrez les yeux et regardez ce qui vous entoure. Voyez le damier des lignes des champs ou la courbe de la montagne, remarquez la dernière fleur de l'été et la couleur si particulière des feuilles d'automne, notez ce détail de gravure sur la maison voisine ou la surprise d'un graffiti inattendu. Il est possible de voyager sans partir loin, simplement remarquer ces détails du quotidien qui subliment l'endroit où l'on vit. Profitons de notre chance et explorons notre beau pays.

Ce pays que je voudrais visiter, cette France connue et secrète, je pars en cette fin de semaine en découvrir un nouveau recoin en compagnie d'une amie, et bien sûr de nouveaux compagnons humains et équins. C'est parti pour une petite randonnée automnale.



Et comme je partagerai avec vous ce nouveau voyage, à votre tour de partager ici cet instant quotidien qui vous parle de la France.

J'invite maintenant trois blogueurs à répondre à ce défi, à nous parler à leur tour de cet endroit qu'ils aimeraient visiter, à nous raconter comment ils l'imaginent, avant de nominer chacun trois blogueurs. Ces blogueurs, ce sont:

- Alexia, de Perspectives Cavalières
- Hélène, de Dans mes bottes de sept lieues,
- et Robin Parady, Voyageur du Verbe.

Si vous souhaitez vous aussi répondre à ce défi, n'hésitez pas à vous lancer! Vous pouvez utiliser le logo du défi pour présenter vos articles. Faites nous rêver!

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20 octobre 2014

Sondage

20.10.14 3 Petits Mots
Amis lecteurs, lectrices, cavalières, voyageurs, blogueurs et passants, bonjour.

Un court article inhabituel aujourd'hui, puisqu'il va me servir à vous poser une question. J’aimerais savoir ce que vous aimez lire sur ce blog. Et en particulier, quelle est la destination que vous souhaiteriez découvrir un peu plus au travers de mes récits dans les semaines à venir?

Pour cela, je vous invite à remplir le sondage ci-contre, et à répondre à la question aussi sur ma page Facebook. Une destination supplémentaire  y est proposée. Vous pouvez en plus me laisser un commentaire si vous avez des idées plus détaillées...

Merci de votre participation, et à jeudi pour un "Je dis voyage..." pour une destination mystère...

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16 octobre 2014

Randonnée en Mongolie - 5 : A cheval au pays des huit lacs

16.10.14 6 Petits Mots
Un jour, on se croit au bout du monde, de l'émerveillement et des découvertes. Et puis l'on découvre qu'il est possible d'aller encore plus loin. Partir vers les lacs isolés de Mongolie, avec pour seuls compagnons des voyageurs les yaks et les chevaux. Souvenez-vous, je m'étais endormie dans les steppes de Mongolie, face à un ciel immense, déjà des étoiles plein les yeux.

Et parce qu'aujourd'hui est un jour un peu spécial, parce que mon blog a (déjà!) 6 mois, je vous propose de vous emmener de nouveau dans le même pays qu'au premier jour du blog.


Chargement des yaks


Nous avions déjà découvert la steppe, la vie nomade, les longues journées à cheval sans pouvoir prendre de douche, les troupeaux en liberté, les ovoos et les espaces immenses. Est-il alors possible de s’éloigner encore un peu plus de notre quotidien? Départ en autonomie pour trois jours. Au revoir véhicules d'intendance. Sacs allégés au minimum, il faut charger les yaks. Heureusement que rien n’est fragile, car le matériel est sanglé sur leur dos … fermement ! Les yaks sont lâchés, ils sont partis … sans nous!



Prêts à partir

Bientôt nous les suivons au cœur de la forêt, et c’est à leur rythme que nous entamons l’ascension. Et ça grimpe ! Au milieu des sapins, la piste se réduit petit à petit, et c’est en file indienne que nous atteignons le sommet avant de redescendre. Les arbres laissent alors la place à un paysage complètement changé. Nous suivons une ancienne coulée de lave érodée qui forme désormais des empilements chaotiques de roches, d’où pointent parfois des arbres. Le terrain que nous traversons est marécageux, les chevaux s’enfoncent parfois dans l’eau.


A cheval derrière les yacks


Changement de paysage

Nous avons atteint le pays des 8 lacs, où les pistes carrossables ont disparu. Ici, dans le parc de Naiman Nuur, ce n’est pas à perte de vue que porte le regard, mais sur un paysage vallonné surmonté dans le lointain par les montagnes couronnées de neige. Bientôt nous nous installons pour un repas au dessus du lac Huis, le « lac du nombril ». Ce sera notre camp de base. Les yaks sont déchargés et une simple pierre suffit à les attacher, grâce à l’anneau qu’ils ont dans le nez. Nous repartons ensuite à cheval pour découvrir dans des recoins inattendus deux autres lacs plus petits.


Entre les lacs

A notre retour, nous montons les tentes pour nous installer. C’est un moment de calme et de repos pour chevaux et cavaliers, et l’heure d’aller boire pour les yaks. Mais bientôt le froid se fait plus mordant et c’est déménagement express. Les nomades qui habitent plus bas ont une seconde yourte au dessus du lac. C’est là que nous nous installons. Les tentes sont démontées, sauf celles dans lesquelles nous rangeons les selles et dans laquelle Boldo me conseille de me dissimuler le temps que le reste des affaires soient transportées. Ce moment intemporel où nous nous retrouvons tous les deux à contempler ce paysage féerique, et où il m'explique l'itinéraire du lendemain, à grands renforts de gestes et des quelques mots de Français qu'il connait. Je comprendrai au moins que nous allons aller voir de nombreux lacs.


Installation des tentes

Déménagement

Yourtes du soir avec vue sur le lac Huis

Pendant ce temps, Bagii le cuisinier termine le repas … préparé directement dans la tente, avec deux réchauds pour cuisiner. Les repas se ressemblent souvent, avec des déclinaisons: parfois légumes divers et lamelles de bœuf, parfois pâtes et bœuf, ou encore soupe, légumes et bœuf. Bien évidemment, je n'ai pas voulu chercher à me renseigner plus précisément sur le mode de conservation du bœuf dans le véhicule d'intendance... Les carrés de chocolat constituent souvent un dessert très apprécié.


Comment attacher un yack

Ce soir, nous sommes invités par les nomades chez qui nous dormons. Mais avant d’entrer, il faut attraper les petits yaks afin de les attacher pour la nuit pour les garder à proximité afin de les protéger des loups. Rodéo (à pied)! La jeune fille d’une douzaine d’année est bien plus douée que moi. Bien au chaud, on nous offre ensuite du yaourt au lait de yak (délicieux !). Pour l’accompagner, le chef de famille prend une besace qui ne paye pas de mine pendue à un pan de la yourte. Dans celle-ci, un sac plastique qu’il ouvre pour nous proposer son contenu. Surprise: du sucre! Malgré l’isolement, la modernité s’est invitée dans les yourtes. Les panneaux solaires rentrés la nuit rechargent la batterie, qui offre la lumière le soir et quand il pleut, et la parabole capte la télé. Film en noir et blanc, émission américaine doublée en Mongol, ou publicité pour une poupée… Ash, notre guide, a la gentillesse de traduire certaines conversations pour nous: j’aurai pourtant préféré ne pas savoir que notre hôtesse a vu un loup. Maintenant, il nous faut rejoindre notre yourte dans la nuit noire…


Repos du soir
Abreuver les yacks

Programme de cette nouvelle matinée : découverte des quatre derniers lacs. Oui mais voilà, la météo est aussi de la partie. On part vite, très vite, pour arriver au lac de Shireet avant la pluie. Si vite que malgré le sol marécageux et la distance, on a réussi. Après une dernière montée bien raide, magnifique panorama sur ce grand lac encore gelé. C’est seulement au bord des autres lacs, plus petits, que la pluie nous rattrape. Pourtant, lac après lac, nous menons un train de course de trot sur un terrain plutôt inhabituel à cette allure. Ce qui nous prouve de nouveau une qualité première de nos chevaux: un pied sûr, tout terrain en toutes circonstances !


Lac de Shireet et ciel menaçant!

Cet après-midi, je partage quelques moments avec une famille installée à proximité. Rien de tel pour apprécier certains conforts de la vie moderne: ici, madame, installée à même le sol de la petite yourte, fait la lessive des enfants avec l’eau du lac bouillie sur le poêle et tout de même un peu de lessive en poudre. Pendant ce temps, monsieur discute avec les invités… La lumière du jour éclaire les lieux par l’ouverture centrale du toit de la yourte, qui reste ouverte par toutes les températures. Seules les chutes d’eau sous toutes ses formes poussent quelqu’un à sortir pour rabattre le toit et plonger les lieux dans l’ombre. Alors la fée électricité est la bienvenue pour apporter un peu de lumière. Mais attention, dès la tempête passée, on rouvre le toit et il ne faut pas oublier d’éteindre la lumière, sous peine de se faire rappeler à l’ordre par une enfant de la maison. Celle-ci colorie d’ailleurs avec des feutres de chez Cora… Il semblerait que des Français soient déjà passés par là.


Des enfants qui jouent dehors... même sous la grêle

Départ quand la pluie se transforme en grêle. Je découvre une technique locale plutôt … étonnante. Changer de cheval, c’est plutôt facile, non ? Pourtant, quand les chevaux sont à moitié sauvages, cela devient toute une aventure digne d’être contée. Il faut d’abord trouver un cavalier nomade, parfois accompagné d’une jeune française aventureuse peu effrayée par les aléas climatiques. Alors, on rejoint le troupeau en liberté et on le contourne avant de le lancer dans la direction souhaitée, à grand renfort de cris et de gestes. Attention à ne pas laisser quelques petits malins s’échapper. Et puis, on les pousse vers un espace entre les rochers, une seule entrée, juste assez de place pour accueillir le troupeau. Quelques nomades pour bloquer l’entrée et les chevaux qui ont travaillé peuvent être dessellés et relâchés. Il reste ensuite à attraper le cheval souhaité… au lasso! Et voilà, le tour est joué! Ou presque! Les chevaux mongols sont endurants, capables de passer partout, mais aussi très vifs : il est difficile de les approcher de près. Alors il faut s’y reprendre plusieurs fois avant d’en attraper un. Les nomades ont d’ailleurs un code sonore pour communiquer avec leur troupeau: un sifflement pour les calmer, un bruit des lèvres pour les appeler, des cris pour les faire avancer et les diriger. J’ai vu Boldo appeler ainsi les chevaux, et tout le troupeau a pointé la tête vers lui.


Il faut vraiment qu'on reparte maintenant?

Alors déjà nous rentrons vers notre abri, laissant encore une fois la folle liberté de ces espaces nous enivrer de vitesse. Ce soir, nous nous réfugions de nouveau dans la chaleur de la yourte, avant une journée du lendemain plutôt réfrigérante...


Yourte avec vue

Voilà déjà deux nouvelles journées de mon périple en Mongolie de passées, une expérience dans une région incroyablement isolée et pourtant habitée et branchée sur le monde, une confrontation avec la nature d'autant plus forte qu'à part nous, les touristes sont absents en cette fin du mois de mai.

La suite s'intitule "Entre tradition et modernité".

Retrouvez aussi tous les articles sur mon voyage en Mongolie: récits et conseils.


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11 octobre 2014

L'équitation vue par les blogueuses équestres - Conclusion de la dixième Cavalcade des blogs

11.10.14 12 Petits Mots
Il y a un mois, je vous proposais de nous raconter votre vision de l'équitation. Il semble que la question vous ait inspirées (qui a dit que l'équitation était un sport de filles?), puisque c'est 14 participations que je vous propose de (re-)découvrir aujourd'hui.

Mais d'abord, voici un cadeau pour vous: un fond d'écran à télécharger, illustrant les réponses des blogueuses à la question: Équitation.




Pour le télécharger en format fond d'écran, c'est par ici.



Équitation? Les participations à la Cavalcade


Et voici les articles d'où viennent ces quelques citations, par ordre de publication. 

Philippine, du blog Les poneys de Philippine, nous parle de la relation si particulière avec le cheval qui est à la base de l'équitation.

Garance, du blog UnChevalDesChevaux, nous propose une équitation à l'écoute et souhaite avant tout le respect du cheval.

Gruyer, qui participe sur mon blog, révise la définition de l'équitation en prenant en compte l'avis de son cheval.

Cyrielle, du blog Soon a horse, donne les mots-clés essentiels à sa relation avec son cheval pour définir sa vision de l'équitation.

Moi-même, Emilie, ici sur Cavali'Erre, qui de synonymes en synonymes en vient à proposer qu'il est une équitation propre à chaque cavalier.

Alexandrine, du blog Eduquer son cheval, nous interroge sur la façon dont notre relation avec le cheval participe à notre développement personnel.

Encore moi, sur ce blog, qui vous montre que la force du cheval réside en sa capacité à nous reconnecter avec l'instant présent.

Mello, du blog Ostéonimaux, nous raconte comment sa rencontre avec Plume a révolutionné son équitation.

Gaëlle, du blog Cheval-facile, nous demande d'être à l'écoute de notre cheval pour travailler selon ses désirs plutôt que les notres.

Amaya, du blog Vision Equine, qui cherche jour après jour à construire un partenariat avec sa jument.

Salomé, du blog La cavalière blonde, nous parle cheval plutôt que de se lancer dans le débat sur l'équitation.

Gaelle, du blog Attelage-facile, s'interroge: pratique-t-elle l'équitation lorsqu'elle mène un attelage?

Yuna, du blog Doggychon et ses amis, qui au travers de ses rencontres avec deux chevaux uniques nous montre qu'elle ne peut concevoir l'équitation sans son compagnon équin.

Alexia, de Perspectives cavalières, nous propose une réflexion sur les limites d'une équitation moderne un peu trop bisounours à son goût.



Et voilà, cette édition de la Cavalcade des blogs est déjà terminée. Elle m'a beaucoup appris sur l'équitation et comment chacun la perçoit. C'est le moment de se lancer dans une nouvelle édition, avec un nouveau thème proposé ce mois-ci par Alexandrine, sur Eduquer son cheval.